L'Oise, c'est... ahum!
comment dire... très joli, mais c'est la campagne quoi!
Je me suis rendue cet après midi à mon troisième entretien pour le poste de chef de service dans l'Oise. J'ai été reçue par trois personnes en même temps, mais ça s'est relativement bien passé. Je devrais signer mon contrat de travail d'ici la fin de la semaine. Période d'essai de trois mois renouvelable une fois (soit six mois en tout), salaire d'embauche au dessus de ma fouchette, avec augmentation automatique à la fin de la période d'essai (+ 3000 euros). Et oui, on paye bien les cadres pour venir s'enterrer dans lOise!!!
En revanche, ils m'ont bien spécifié que l'Oise, ce n'était pas Versailles, et encore moins Paris. Autrement dit, il fallait comprendre: "ici, on est des bouzeux, pas de parisianisme déplacé!".
Dans un élan de romantisme rural, j'ai donc visité Chantilly et ses alentours. C'est charmant, il n'y a pas à dire... cela me rappelle ma Normandie natale tiens! C'était bien vite oublier que je vis depuis une dizaine d'année en région parisienne, et que je suis depuis lors atteinte du syndrôme de la parigote etnocentriste. Si bien que je ne pense et ne vis qu'à travers Paris. J'en ai même oublié qu'il puisse exister des gens qui habitent hors de Paris, de l'Ile de France, et qui vivent loin du tumulte de la foule du métro, des embouteillages sur le BP, et autres menus plaisirs franciliens...
Il faut croire cependant que les citadins aiment vivre au vert, puisque l'Oise est littéralement prise d'assault par des travailleurs parisiens en mal de ruralité. Conséquence logique de tout cela: les prix de l'immobilier picard flambent et les rares jeunes cadres débutants tels que votre servitrice ne peuvent pas de ce fait trouver d'appartement à leur convenance! (non seulement les biens sont chers, mais ils sont de surcroit rares).
Loin de me laisser abattre par les "non, je suis sincèrement désolé, mais nous n'avons rien en location actuellement" des agents immobiliers du coin (très sympathiques au demeurant!), j'ai décidé de visiter quelques studios parisiens, situés à proximité de la gare du Nord (à 25 minutes de Chantilly en TER). Même connaissant la difficulté du logement à Paris, j'ai espoir de trouver la perle rare qui fera mon bonheur. J'y mettrai le prix qu'il faudra, qu'il soit en termes pécuniaires (loyer) ou humains (fatigue due aux transports) afin de vivre pleinement ma jeunesse active dans une ville, une vraie!
Je me suis rendue cet après midi à mon troisième entretien pour le poste de chef de service dans l'Oise. J'ai été reçue par trois personnes en même temps, mais ça s'est relativement bien passé. Je devrais signer mon contrat de travail d'ici la fin de la semaine. Période d'essai de trois mois renouvelable une fois (soit six mois en tout), salaire d'embauche au dessus de ma fouchette, avec augmentation automatique à la fin de la période d'essai (+ 3000 euros). Et oui, on paye bien les cadres pour venir s'enterrer dans lOise!!!
En revanche, ils m'ont bien spécifié que l'Oise, ce n'était pas Versailles, et encore moins Paris. Autrement dit, il fallait comprendre: "ici, on est des bouzeux, pas de parisianisme déplacé!".
Dans un élan de romantisme rural, j'ai donc visité Chantilly et ses alentours. C'est charmant, il n'y a pas à dire... cela me rappelle ma Normandie natale tiens! C'était bien vite oublier que je vis depuis une dizaine d'année en région parisienne, et que je suis depuis lors atteinte du syndrôme de la parigote etnocentriste. Si bien que je ne pense et ne vis qu'à travers Paris. J'en ai même oublié qu'il puisse exister des gens qui habitent hors de Paris, de l'Ile de France, et qui vivent loin du tumulte de la foule du métro, des embouteillages sur le BP, et autres menus plaisirs franciliens...
Il faut croire cependant que les citadins aiment vivre au vert, puisque l'Oise est littéralement prise d'assault par des travailleurs parisiens en mal de ruralité. Conséquence logique de tout cela: les prix de l'immobilier picard flambent et les rares jeunes cadres débutants tels que votre servitrice ne peuvent pas de ce fait trouver d'appartement à leur convenance! (non seulement les biens sont chers, mais ils sont de surcroit rares).
Loin de me laisser abattre par les "non, je suis sincèrement désolé, mais nous n'avons rien en location actuellement" des agents immobiliers du coin (très sympathiques au demeurant!), j'ai décidé de visiter quelques studios parisiens, situés à proximité de la gare du Nord (à 25 minutes de Chantilly en TER). Même connaissant la difficulté du logement à Paris, j'ai espoir de trouver la perle rare qui fera mon bonheur. J'y mettrai le prix qu'il faudra, qu'il soit en termes pécuniaires (loyer) ou humains (fatigue due aux transports) afin de vivre pleinement ma jeunesse active dans une ville, une vraie!
Ecrit par zigomatik, le Mardi 11 Février 2003, 00:06 dans la rubrique 36 15 j'raconte ma vie.